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GAUTHIER Mylène

En moi, la peintre et la photographe se mirent dans le regard l’une de l’autre. La main de la peintre se prolonge dans le corps de la photographe en marche dans le Grand Dehors. Au commencement, j’œuvre devant deux invisibles – la toile à venir, la photo à révéler.
 
Peindre et photographier rassemblés dans des gestes et des lignes expriment ma quête pour donner à voir les mouvements ondulatoires du temps dans la lumière. Comme des ondes se propagent dans un milieu sans modifier sa structure de façon permanente, le monde reste intact après le passage de l’onde photographique, car ce que je vois ne me regarde pas.