Visite guidée dans les rues de Montréal à travers l’objectif de Christian Salette
Nous vous proposons à travers cette page de visiter des lieux de Montréal et ses environs en compagnie de Christian Salette. DÉBUTER LA VISITE
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Série limitée à 21 exemplairesUn homme cherche une lueur au milieu de la nuit : Le reflet d’une étoile qui pourrait l’aveugler, l’enivrer.Ses observations l’exaspèrent, il ne voit que les ombres de soleils très lointains. Tout en parcourant la forêt comme une bête sauvage avec un cœur qui bat la chamade, il transpire et marmonne : « mais, où est ce corps céleste ? Qui me réchauffait tant ! Je ne voie que le rayonnement de la lune ». Les yeux fermés, il vocifère mille et une bêtises. Et continue de fouiller la terre. Le soleil se lève, l’homme a toujours froid. Il reste là, les yeux écarquillés, le corps fatigué, l’esprit troublé et continue d’explorer.Hugues Rochette Commander Un homme cherche une lueur au milieu de la nuit.
Dyptique | Montage sous acrylique Le voyage est une espèce de porte par où l’on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve. » (Guy de Maupassant, 1850-1893) Au moment d’obtenir une seconde nationalité, Julien Paulhiac a parcouru le Canada d’un océan à l’autre puis s’est envolé pour l’Amérique du Sud : Pérou, Chili, Argentine. Ce voyage au long cours et sac au dos lui a fait l’effet d’un saut à l’élastique : brutal et vivifiant. Sans attache, sans technologie, il a fallu jour après jour apprendre à vivre avec soi, subvenir à ses besoins primaires, aller vers l’autre et se découvrir capable de gravir des sommets. Chaque montagne enjambée était un défi et un plaisir. Julien les partage aujourd’hui en vous livrant leurs coordonnées [...]
Déambulant dans les rues de St-Léonard, j’entrevois une haie de cèdres. De cette marche émerge une idée : Et si j’y mettais ma tête ! Je m’assois dans mon salon, et commence à développer un concept. J’y vois une femme habillée en robe, des ciseaux géants qui couperaient la haie : Un autre monde, complètement onirique. Mais, pas de bol, comme d’habitude, je n’ai pas les moyens pour faire une grande mise en scène, de déployer des artifices monstrueux, un jeans noir et une camisole blanche fera l’affaire. Je reste dans le quartier Rosemont, il n’y a pas beaucoup de haies de cèdres, mais un grand parc avec des arbres, des arbustes et quelques fleurs. Départ vers le parc Maisonneuve Rosemont à la recherche d’autre chose. J’y marche et trouve une rangée de jeunes [...]